Delphine Jubillar : cet élément déterminant de l'enquête qui n'a pas encore livré ses secrets
Tandis que Delphine Jubillar demeure introuvable depuis décembre dernier, les enquêteurs ont passé le domicile de l'infirmière au peigne fin, et ont même fait des prélèvements toxicologiques sur ses enfants pour voir s'ils n'étaient pas sous l'emprise de drogues ce soir-là.
C'est un élément qui n'est pas encore connu des enquêteurs. Depuis décembre dernier, les autorités font tout leur possible afin de découvrir ce qui est arrivé à Delphine Jubillar, cette mère de famille qui a disparu en pleine nuit et dont on ne retrouve désormais pas la trace. Alors qu'aucun suspect n'a encore été placé en garde à vue faute de preuves ou d'éléments pour ce faire, la maison de l'infirmière elle, a été passée au peigne fin pour tenter de retrouver des indices. Toutefois, un résultat manque encore : celui des prélèvements toxicologiques effectués sur ses enfants, notamment son fils aîné.
En effet, les enquêteurs ont demandé un prélèvement toxicologique sur l'enfant à partir de cheveux afin de savoir si le soir de la disparition de Delphine Jubillar il n'avait pas été drogué afin "qu'il ne s'aperçoive de rien". "Les magistrats ont demandé une analyse toxicologique pour savoir s'ils n'auraient pas été sous l'emprise de somnifères par exemple", précise un journaliste dans un reportage diffusé sur W9 mercredi 28 avril, ajoutant que pour le moment, les résultats de ces analyses ne sont pas connus et que l'enquête n'a pour le moment pas de nouveaux éléments.
Le coup de sang de Cédric Jubillar face aux journalistes
Pour l'instant, impossible d'inculper qui que ce soit dans cette affaire, tandis que Cédric Jubillar lui clame son innocence. Très sollicité par la presse pour évoquer la disparition de son épouse, celui-ci est allé jusqu'à barricader sa demeure afin qu'on le laisse tranquille, lui et ses deux enfants. Lassé de ces sollicitations permanentes, il a même eu un coup de sang contre des journalistes qui souhaitaient lui parler. Interpellé dans une ruelle de son village tandis qu'il était avec son fils, celui-ci a demandé si les journalistes "cherchaient la merde", les menaçant même de contacter son avocat et de les prendre en photo pour les dénoncer. Une réaction à chaud pour le père de famille, qui a notamment rappelé qu'il souhaitait un peu de respect et d'intimité pour son fils aîné, alors avec lui, en demandant qu'il ne soit pas filmé.
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