"Celles qui augmentent leurs lèvres..." : Delphine Wespiser dévoile son avis tranché sur la chirurgie esthétique
A la tête de Viens on s'aime, une nouvelle émission autour du mariage ce 30 juin sur C8, Delphine Wespiser s'est confiée dans une interview fleuve à Femme Actuelle. L'ex Miss France évoque notamment ses envies de chirurgie esthétique.
Révélation de la saison de Touche pas à mon poste grâce à ses prises de position notamment sur le vaccin ou lors de la campagne présidentielle, Delphine Wespiser a obtenu la présentation de Viens on s'aime, une toute nouvelle émission autour du mariage diffusée ce jeudi 30 juin sur C8. Pour l'occasion, l'ancienne Miss France s'est confiée longuement à nos confrères de Femme Actuelle. Celle qui partage sa vie avec Roger depuis plusieurs années a notamment donné son avis tranché sur la chirurgie esthétique.
"Étant jeune, j'ai toujours été contre. Là je me dis : pourquoi pas un jour. Personne ne doit juger quelqu'un qui fait de la chirurgie, parce qu'on a tous cette même peur malgré tout, du temps qui passe. En revanche, je ne suis pas pour la chirurgie des jeunes. Celles qui augmentent leurs lèvres par exemple", explique Delphine Wespiser à nos confrères. Elle revient également sur l'ouverture du concours Miss France aux mamans et aux femmes transgenres : "Pour les mamans, le problème, c'est qu'elles n'auront jamais le temps. Miss France, c'est du plein temps (...) C'est impossible de gérer ça avec un enfant qui a besoin de sa maman tout le temps. Pour ce qui est des jeunes femmes transgenres, si c'est leur rêve, il n'y aucun souci".
Delphine Wespiser regrette-t-elle ses propos sur Marine Le Pen, "maman des Français" ?
Pendant la campagne présidentielle, Delphine Wespiser a fait polémique en annonçant très clairement sur le plateau de Touche pas à mon poste qu'entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen, elle voterait pour la candidate du Rassemblement National, la qualifiant même de"maman des Français". Des propos qui lui ont valu de nombreuses critiques. "Je ne regrette ni le fond, ni la forme, affirme-t-elle dans son interview à Femme Actuelle. En revanche, je regrette la manière dont la presse a voulu couper, amplifier, déplacer les mots, les phrases, les attentions que j'ai dites pour faire du buzz, pour que je devienne le symbole d'une opposition impossible aujourd'hui en France. Je suis devenue la tête à couper".