Cancer de Charles III : ce que ses apparitions publiques révèlent vraiment de sa bataille
Le palais de Kensington a surpris les Britanniques le 16 janvier dernier en annonçant le retrait médiatique de Kate Middleton. Quelques heures plus tard, c’est une autre annonce qui a été faite. Cette fois-ci, elle concernait Charles III et il a été révélé qu’il est atteint d’un cancer. Depuis, le roi se fait très discret afin de se reposer etse concentrer sur sa santé. Dans les colonnes de The Mirror ce mercredi 10 avril, Judi James a fait quelques révélations. Experte en langage corporel, elle a d’abord affirmé : “il y a une toute nouvelle histoire d'amour florissante entre Charles et son public depuis le diagnostic de son cancer". S’il a toujours été proche des Britanniques, Charles III semble l’être davantage ces dernières semaines.
Dans les colonnes du tabloïd, l’experte confie : “les liens entre Charles III et le public se sont parfois brisés. Être le fils et le mari de deux des femmes les plus célèbres et appréciées du monde n’a toujours été évident”. Pour Judi James, la vie privée du souverain a beaucoup joué dans sa côte de popularité. “Quand il a divorcé de Lady Diana, il a contrarié sa mère et il a ensuite épousé une des femmes les plus controversées et impopulaires du monde pendant une certaine période”, rappelle-t-elle en évoquant Camilla Parker Bowles. Une union qui avait beaucoup fait parler, notamment suite au décès de la princesse Diana en 1997.
Charles III : les confidences d’une experte en langage corporel
Judi James enchaîne les révélations. Selon les propos de l’experte, le langage corporel de Charles III révèle beaucoup de sa personnalité. “Son enfance et sa jeunesse montrent le langage corporel d'un jeune homme solitaire, réfléchi et isolé, entouré d'un père et d'une sœur alpha confiants ainsi que de deux frères et sœurs beaucoup plus jeunes et très adorés”, explique-t-elle d’abord. Judi James rappelle ensuite que la jeunesse de Charles III n’a pas été de tout repos et il a donc eu beaucoup de mal à se lâcher en public. “Il détestait son école et en tant qu'adulte, il avait tendance à paraître réticent et mal à l'aise lorsqu'il était poussé à faire des promenades ou à poser pour la presse”, a-t-elle analysé.
Charles III est très apprécié des britanniques mais, selon Judi James, cela n’a pas été évident au départ. “Charles avait clairement le désir d'être populaire et sous l’attention des projecteurs, mais il lui manquait toujours les compétences d'empathie que Lady Diana avait naturellement”, a-t-elle affirmé. “L’affection du public pour Charles III n’a jamais été acquise et il devait en être conscient, avant et même après son Couronnement”, poursuit l'experte qui rappelle que les Britanniques faisaient le deuil d’Elizabeth II, qui a régné pendant 70 ans. “Beaucoup d’autres imaginaient encore Lady Diana assise sur le trône comme étant sa reine et non son épouse actuelle”, a-t-elle poursuivi.
Charles III : un roi toujours proche des Britanniques
Charles III a fait le choix d’être transparent. Le souverain a publiquement évoqué son diagnostic et, pour Judi James, cette décision était importante. “Il a montré des signes de chagrin face à la mort de son père et de sa mère et il a évoqué son diagnostic. Sa méthode l’a rendu beaucoup plus humain” , a-t-elle affirmé. S’il était perçu comme étant le roi d’Angleterre, les gens avaient tendance à oublier que Charles III est avant tout un fils, un mari et un père. “Il a montré ouvertement des émotions auxquelles tout le monde peut s'identifier et cela a probablement été le comportement dont le public avait besoin pour véritablement l'accepter comme roi” , assure Judi James.
Depuis le diagnostic de son cancer, Charles III s’est fait très discret. Le roi a fait une apparition pour le traditionnel dîner de Pâques durant lequel il a pu saluer les Britanniques. “Il a reçu beaucoup d’affection et de soutien de la part du public et son langage corporel a montré qu’il était à la fois surpris et heureux ”, confie Judi James. L’experte précise que le souverain s’est “dirigé droit vers la foule afin de serrer des mains, plaisanter et discuter comme s’ils étaient de véritables amis”. Un comportement qui met en avant le fait que le roi peut compter sur le soutien des Britanniques mais aussi que tout cet amour pourrait “l’aider à retrouver la santé”, conclut Judi James.