"C'est obscène !" Géraldine Maillet, écœurée, pousse un violent coup de gueule dans TPMP
Géraldine Maillet était profondément choquée. Alors que Cyril Hanouna a tenu à faire réagir ses chroniqueurs sur les propos de l'avocate de Salah Abdeslam, l'écrivaine a poussé un gros coup de gueule.
Ce mardi 7 juin 2022, Cyril Hanouna a tenu à faire réagir ses chroniqueurs sur un sujet bien précis : les propos de l'avocate de Salah Abdeslam, venue sur le plateau de Quotidien. Pour rappel, ce dernier est impliqué dans les attentats du 13 novembre 2015. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que les déclarations de l'avocate ont profondément choqué les téléspectateurs : "Je n'ai pas hésité très longtemps parce que j'ai vu qu'il y avait quelque chose à faire, j'ai vu que le contact était bon, contrairement à toutes les idées que l'on avait pu se faire. C'est quelqu'un qui est très humain, quelqu'un avec qui on peut discuter. Et c'est quelqu'un avec qui on peut construire quelque chose".
Cyril Hanounaa ainsi demandé à ses chroniqueurs, si, tout comme les téléspectateurs, eux aussi avaient été choqués par ces propos. EtGéraldine Mailletl'a été profondément ! "C'est obscène ! On a pas envie d'entendre l'humanité d'un tel ou d'un tel sur un plateau télé. Moi, je n'ai pas envie d'entendre l'humanité de Fourniret sur un plateau et avec un avocat qui va me dire : 'ouais, mais en fait, Fourniret il était quand même un peu humain !' Mais ta gueule, en fait ! Fais ça dans ton travail, mais pas sur un plateau télé. C'est insupportable !"
Avocate de Salah Abdeslam : "Je pense que les faits qui lui sont reprochés sont au contraire très humains"
Lors de sa venue sur le plateau de Quotidien, l'avocate du terroriste a également interloqué Yann Barthès qui lui a alors rétorqué qu'il était bien difficile d'entendre quelqu'un louer l'humanité de Salah Abdeslam. Néanmoins, la jeune femme a enfoncé un peu plus le clou : "Et pourtant, et pourtant... Je suis contre les idées toutes faites, qui viennent dire qu'une personne est à exclure de l'humanité, que c'est un monstre, que c'est quelqu'un d'inhumain. Non, je pense que les faits qui lui sont reprochés sont au contraire très humains et que ça amène à les comprendre, à les penser un peu différemment. Quand je dis les comprendre, cela ne veut pas dire les justifier, les légitimer. Mais c'est aussi ce travail de la cour d'assises que de savoir ce qu'il s'est passé pour qu'on en arrive là", a-t-elle affirmé.