Brigitte Macron : cet appel à l'aide bouleversant qu'elle ne devrait pas ignorer bien longtemps
D'après les informations de France Bleu, ce mardi 25 mai, Brigitte Macron a reçu un appel à l'aide de parents d'élèves inquiets pour la scolarité et l'avenir de leurs enfants.
En tant que Première dame, Brigitte Macron s'implique dans de nombreuses causes, notamment auprès des hôpitaux ou encore de l'éducation. C'est donc sans surprise que les parents d'élèves de l'association MEEO (Mon école extra-ordinaire) à Annecy, en Haute-Savoie, ont décidé de lui lancer un appel à l'aide. Ces derniers sont préoccupés pour la scolarité et l'avenir de leurs enfants, neuro-atypiques, atteints de troubles autistiques ou encore de troubles de l'apprentissage, entre autres. Ces parents sont désormais inquiets en raison de menaces planant sur l'école privée, l'institut Autisme Saint-François, qui a pris leurs enfants sous son aile.
Cet établissement, fondé en 2016 d'après les informations de France Bleu de ce mardi 25 mai, a beau répondre aux besoins éducatifs de leurs enfants, qui ne peuvent poursuivre leur scolarité dans l'enseignement public, il ne bénéficie pas d'un soutien suffisant du ministère de l'Éducation nationale. La preuve, si celui-ci devait d'abord assumer trois postes d'enseignants, il n'en prendra qu'un seul en charge pour la rentrée scolaire du mois de septembre 2021. Et ce, toujours d'après nos confrères, à condition qu'une partie des cours se déroulent à l'école publique de Novel, soit "une école qui ne fonctionne pas pour nous enfants" à en croire une certaine Anne-Claire Henry, mère d'un petit Gaspard âgé de 8 ans. Un appel que Brigitte Macron n'est pas susceptible d'ignorer.
Brigitte Macron est fréquemment appelée au secours
Son engagement pour l'éducation de tous est bien connu, si bien que ce n'est pas la première fois que Brigitte Macron est interpellée. En février 2020, la mère d'une enfant tétraplégique, prénommée Chloé, a fait appel à son aide. Sa fille, une jeune étudiante handicapée, avait été forcée de mettre fin à son cursus à Sciences Po Grenoble car privée d'un auxiliaire de vie pouvant l'accompagner. Le financement de son aide ne pouvait plus être garanti par l'université puisqu'il n'est plus proposé par l'État. Si une réponse de la Première dame n'a encore jamais été confirmée (la crise sanitaire a débuté peu de temps après ce cri du cœur), le duo mère-fille a lancé une cagnotte en ligne.
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