Vaccins : ces neuf familles françaises gagnées par un soupçon inquiétant
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Vaccins : ces neuf familles françaises gagnées par un soupçon inquiétant Selon Europe 1, neuf familles auraient porté plainte contre le laboratoire suédo-britannique suite au décès de proches consécutifs à l'injection du vaccin.
Le vaccin Astrazeneca continue de susciter de nombreuses inquiétudes. Selon Europe 1, neuf familles auraient porté plainte contre le laboratoire suédo-britannique suite au décès de proches consécutifs à l'injection du vaccin.
Maître Etienne Boittin, un avocat basé à Saint-Nazaire, aurait regroupé les plaintes de neuf familles qui font suite au décès d'un de leur proche après que ces derniers aient reçu une injection d'AstraZeneca, a révélé Europe 1, ce mercredi 14 avril. "Parmi les personnes qui sont décédées, aucune ne présentait un quelconque antécédent médical en relation avec la survenance d'une thrombose qui leur a été fatale. Les plaintes qui ont été déposées l'ont été sur le fondement de l'homicide involontaire. Cette qualification pourrait être amenée à évoluer", a expliqué l'avocat à Europe 1.
Neuf décès et une quinzaine de complications suite à l'injection des vaccins contre le Covid
L'avocat suit également une quinzaine de dossiers de personnes qui ne sont pas décédées, mais qui déplorent des conséquences graves suite à l'injection d'AstraZeneca, "ce sont essentiellement des atteintes de nature vasculaire ou de nature neurologique", explique Maître Etienne Boittin.
Mais l'AstraZeneca n'est pas le seul vaccin qui pourrait causer des problèmes, "j'ai aussi été saisi par deux personnes qui m'ont indiqué avoir déploré des complications graves liées à l'injection du vaccin de Pfizer. Ce ne sont pas des personnes qui sont décédées. On a un AVC et on a des tremblements qui, pour l'instant, ne s'expliquent pas", a également indiqué Etienne Boittin.
Pour rappel, en France, la Haute autorité de santé a restreint l'utilisation de l'AstraZeneca aux plus de 55 ans. Les moins de 55 ans qui ont reçu une première dose devraient avoir leur deuxième injection avec un autre vaccin, a déclaré vendredi 9 avril , Olivier Véran, le ministre de la Santé.
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