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Arts et People

Une neuvième victime du redoutable tueur aux Smileys identifiée 30 ans après ses horribles crimes

Une nouvelle victime du tueur aux smileys a été identifiée, le 18 avril dernier, aux Etats-Unis, soit trente après l'horrible crime. Retour en 1993, en Californie. Le corps sans vie d'une femme est retrouvé le long d'une route de Gilroy, une ville située à 120 km au sud de San Francisco. Seul élément remarquable : la victime porte des vêtements bleus. Mais elle n'a aucun papiers d'identité sur elle. A l'époque, les enquêteurs ne parviennent pas à l'identifier, ni à déterminer les causes de sa mort. Elle est donc surnommée "Blue Pacheco" et sa mort est classée comme "indéterminée", rapporte Paris Match. Trente après la découverte macabre, le bureau du shérif du comté de Santa Clara a révélé, le 18 avril dernier, l'identité de cette victime. Elle s'appelait Patricia Skiple et, selon les derniers éléments de l'enquête, elle est l'une des femmes tuées par Keith Jesperson, le « Happy Face Killer » (le tueur aux smileys, en français). Cette mère de famille de 45 ans venait de Colton, dans l'Oregon. Le tueur aux smileys étranglait ses victimes Arrêté en 1995, le tueur aux smileys avait affirmé avoir "tué 160 personnes mais seuls 8 meurtres ont été confirmés", relate Paris Match. Il avait alors expliqué qu'il avait tué ses victimes de la même manière qu'il tuait des animaux étant enfant : par strangulation. En 2007, Keith Jesperson avait plaidé coupable du meurtre de Patricia Skiple. Il avait alors raconté l'avoir agressé sexuellement avant de l'assassiner. Les meurtres commis par le tueur aux smileys sont passés inaperçus au début des années 90, note Paris Match, car il s'agissait essentiellement de prostituées. Il a attiré l'attention des médias et des procureurs en leur envoyant des lettres sur lesquelles il griffonnait toujours... un smiley souriant. Loading widget Inscrivez-vous à la Newsletter de Closermag.fr pour recevoir gratuitement les dernières actualités

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