Seine-et-Marne : un vendeur de 18 ans poignardé à mort dans une boutique Bouygues-Telecom
D'après France Info, ce samedi 10 juillet, un jeune vendeur de Bouygues Telecom a été poignardé à mort par un client. Explications.
C'est un différend commercial qui aurait mal tourné. Dans l'après-midi de ce samedi 10 juillet, et comme le relate le site de France Info, un homme a été interpellé au centre commercial de Claye-Souilly, en Seine-et-Marne. La ville, située au Nord-Est de la capitale a été le théâtre d'un faits divers glaçant. Deux vendeurs d'une boutique Bouygues Telecom au sein du centre commercial ont été les victimes d'une attaque au couteau. L'un d'entre eux, âgé de seulement 18 ans, a été poignardé à mort. La seconde victime, âgée de 20 ans d'après les informations de BFMTV, a été transportée à l'hôpital et serait dans un état grave.
La nouvelle du drame a été confirmée par la procureure de Meaux, Laureline Peyrefitte, auprès de l'AFP. Nos confrères, qui citent des sources policières, affirment que le suspect aurait eu un différend commercial avec les deux vendeurs avant de quitter la boutique. Il serait revenu peu de temps plus tard, armé d'un couteau, prêt à passer à l'acte. L'individu a ensuite été interpellé par un policier et un agent pénitentiaire, présent sur les lieux au moment des faits. À la suite de cet "incident de sécurité publique", la préfecture de Seine-et-Marne a encouragé les citoyens d'éviter le secteur, comme le prouve une publication relayée sur Twitter.
Quel ministre a salué les deux hommes qui ont appréhendé le suspect ?
Les forces de l'ordre ont donc évacué les lieux pour les besoins d'une enquête, ouverte dans la foulée. Épaté par le courage des deux hommes qui ont appréhendé le suspect, le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin les a salués à son tour, toujours sur le réseau social à l'oiseau bleu. "Merci aux deux principaux intervenants, un policier et un agent pénitentiaire, tous deux hors service, pour leur action courageuse." Les identités des victimes ne sont pas connues, tout comme celle de l'assaillant.
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