Rachida Dati : qui a volé les clefs de son appartement ?
Samedi 8 mai, le domicile de la gouvernante de Rachida Dati a été cambriolé en plein après-midi. Et dans son sac à main, dérobé par un ou plusieurs cambrioleurs, se trouvaient les clés du domicile de la maire du 7ème arrondissement de Paris.
Coup dur pour Rachida Dati. Alors qu'elle s'est absentée de son domicile entre 16h30 et 19h45, la gouvernante de la maire LR du 7ème arrondissement de Paris a eu une très mauvaise surprise en rentrant chez elle samedi 8 mai. En effet, elle a découvert que son appartement du 16ème arrondissement avait été cambriolé durant son absence, et que plusieurs effets personnels lui ont été dérobés par un ou plusieurs cambrioleurs, rapporte Le Parisien. Un vol qui touche par ailleurs de près Rachida Dati. Et pour cause : dans le sac à main dérobé de la gouvernante, se trouvaient les clés du domicile de l'ancienne garde des Sceaux.
"Elle explique que les malfrats lui ont volé ses bijoux, un ordinateur portable et son sac à main, contenant les clés de l'appartement de la femme politique", a précisé une source proche de l'affaire au Parisien. Heureusement, la gouvernante a précisé que hormis ces clés, aucune information concernant l'adresse de Rachida Dati n'était présente dans ce sac. Toutefois, par précaution, les forces de l'ordre ont mené des rondes et des surveillances autour du domicile, mais aucun voleur ne s'est présenté chez elle.
Aucun coupable n'a encore été arrêté pour ce cambriolage
Une petite frayeur pour Rachida Dati, notamment parce que le ou les cambrioleurs n'ont pour l'heure pas été arrêtés. En attendant, l'ancienne garde des Sceaux pourrait bien rester sur le qui-vive, elle qui est longtemps restée silencieuse après la condamnation de Nicolas Sarkozy en mars dernier. Toutefois, face aux nombreuses réactions suscitées par cette décision judiciaire, la maire du 7ème arrondissement de Paris, qui a récemment menacé de porter plainte contre Anne Hidalgo, avait finalement pris la parole pour réitérer son soutien à l'ancien chef de l'État. "Je reste fidèle à Nicolas Sarkozy dont je ne peux remettre en doute la probité", avait-elle indiqué dans les colonnes du Parisien. "Je ne me suis pas exprimée la semaine dernière parce que je considère qu'il faut garder de la sérénité et de la mesure dans ce type de débats", avait-elle ajouté, critiquant notamment la procédure qui avait amenée à ce verdict.
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