Quitté par sa compagne, il perd la raison et comment l'impensable dans son restaurant

1/6 - Restaurant Un jeune homme, quitté par sa compagne, a perdu la raison et a commis l'impensable dans son restaurant A Saint-Orsens, en Haute-Garonne, un homme a foncé dans la façade du restaurant de son ex-compagne, avant de tenter de se suicider. Grièvement blessé, il a été hospitalisé et devrait être transféré en unité psychiatrique Une rupture qui a bien failli virer au drame. Ce lundi 21 novembre, un homme âgé de 37 ans a volontairement foncé dans la façade d'un restaurant de Saint-Orens (Haute-Garonne), près de Toulouse. Il s'est ensuite saisi d'un cutter et d'une machette avant de s'en prendre à à son ex-compagne, qui travaille dans l'établissement, et au nouveau compagnon de celle-ci, également présent sur les lieux, a rapporté  le procureur de la République de Toulouse, Samuel Vuelta-Simon, dans un communiqué de presse. La jeune femme, âgée de 35 ans, a été atteinte à la tête et dans le dos. Son compagnon, âgé lui de 33 ans, a pour sa part été blessé à la jambe. Après les avoir attaqué, le suspect est retourné à son véhicule pour récupérer un bidon de combustible et mettre le feu derrière le comptoir du bar, "pendant que les deux victimes prenaient la fuite et se réfugiaient dans un commerce". Se retrouvant seul dans l'établissement, l'homme a tenté de se suicider à l'aide d'un cutter.  Grièvement blessé, il a été hospitalisé avec un pronostic vital engagé. Les deux victimes ont également été hospitalisées. Le suspect avait déjà accroché la voiture de son ex-compagne Le suspect a ensuite été placé en garde à vue mais celle-ci a rapidement été levée car un médecin a jugé l'état de l'homme incompatible avec le régime de la garde à vue "en raison d'un risque suicidaire trop important", selon le parquet de Toulouse. Il doit donc être interné d'office en unité psychiatrique. Le 30 octobre dernier, les gendarmes étaient déjà intervenus après la collision entre la voiture du suspect et celle de son ex-compagne. L'enquête n'avait cependant pas permis de déterminer le caractère volontaire de l'accrochage.