Princesse Beatrice : ce trouble dont ses enfants pourraient être atteints qu'elle considère comme un cadeau
Atteinte de dyslexie depuis son plus jeune âge, la princesse Beatrice s'est longuement confiée sur ce trouble dans les colonnes du magazine Hello. Alors qu'elle est enceinte de son premier enfant, la petite-fille d'Elizabeth II a assuré qu'elle voyait ce trouble comme un cadeau.
5 % de la population mondiale serait touchée par la dyslexie... Alors que ce trouble est souvent perçu comme une faiblesse, la princesse Beatrice souhaite plus que tout que ce dernier soit vu comme une force. Elle-même dyslexique depuis ses sept ans, la fille du prince Andrew et de Sarah Ferguson a pourtant eu du mal à s'accepter telle qu'elle était. Dans un entretien accordé au magazine Hello, elle a en effet confié : "Je me souviens avoir été très confuse, accompagnée par un sentiment accablant lorsque je devais lire : 'Pourquoi tout semble un peu confus ? Pourquoi ai-je l'impression que ces mots sur la page ne sont qu'une masse illisible... Que se passe-t-il ? Qu'est-ce que je suis censée faire avec ça ?'" Alors qu'elle a été très bien accompagnée, la jolie brune souhaite aujourd'hui aider les autres.
Très investie, la princesse Beatrice a expliqué : "Je pense que raconter des histoires est l'un des moyens de communication les plus fantastiques qui existent. Si en partageant mon histoire, je peux aider un jeune, qu'il ait 11 ou 7 ans, qui vient d'apprendre qu'il a le don de la dyslexie, je le fais. Honnêtement, ce qui m'a inspiré à parler de la dyslexie, c'est la volonté de changer le récit autour du diagnostic. Rien qu'en limitant la dyslexie à un diagnostic, je pense que cela ne rend pas service. Et je pense qu'en déplaçant un peu le récit vers quelque chose de positif, d'impactant, cela peut vraiment aider tout le monde." Estimant que ce trouble est un cadeau, la petite-fille d'Elizabeth II a ajouté : "J'ai eu beaucoup de chance. Lorsque l'on m'a dit pour la première fois que j'étais dyslexique, aucune personne autour de moi ne m'a jamais fait sentir que c'était une situation qui me rendait 'inférieure à.' Il s'agissait toujours d'aller de l'avant, de ce que je pouvais faire plutôt que ce que je ne pouvais pas faire."
Princesse Beatrice : "Je le vois vraiment comme un cadeau"
Alors que son mari, Edoardo Mapelli Mozzi est également dyslexique, la princesse Beatrice ne s'inquiète pas d'avoir des enfants atteints par ce trouble. "Nous verrons si nous aurons cette conversation dans quelques mois avec un nouveau bébé à la maison, mais je le vois vraiment comme un cadeau. Et je pense que la vie est faite de moments, ce sont les défis qui vous font", a-t-elle assuré. Enfin, la soeur de la princesse Eugenie a ajouté : "Si un enfant, un fils bonus ou de futurs bébés en route ont la chance d'être diagnostiqués dyslexiques, je me sens incroyablement reconnaissante d'avoir des outils tels que la Helen Arkell Dyslexia Charity."
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