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“Parle-moi de culotte menstruelle” : Francesca Antoniotti clashe Nabilla pour sa prise de position dans la présidentielle

1/12 - “Parle-moi de culotte menstruelle” : Francesca Antoniotti clashe Nabilla pour sa prise de position dans la présidentielle Francesca Antoniotti semble ne pas apprécier les prises de position de plusieurs influenceuses comme Nabilla. La chroniqueuse de TPMP a exprimé son agacement sur le plateau de Cyril Hanouna. Francesca Antoniotti semble ne pas apprécier les prises de position de plusieurs influenceuses comme Nabilla. La chroniqueuse de TPMP a exprimé son agacement sur le plateau de Cyril Hanouna.  À quelques jours du second tour, les élections présidentielles continuent à être l'un des sujets principaux du plateau de Touche pas à mon poste. Mardi 19 avril, Cyril Hanouna et ses chroniqueurs sont revenus sur plusieurs influenceurs comme Maëva Ghennam ou Nabilla Benattia, qui ont dévoilé leurs votes à la présidentielle, appelant à voter pour Emmanuel Macron pour ce tour ultime contre Marine Le Pen. Gilles Verdez à Francesca Antoniotti  : "C'est du mépris de classe" Cette initiative n'a pas semblé être au goût de certaines chroniqueurs comme Matthieu Delormeau ou encore Francesca Antoniotti, qui n'a pas fait de cadeau à Nabilla Benattia : "Moi franchement, j'adore Maëva Ghennam, j'adore Nabilla, je les suis. J'adore regarder leurs sacs, ce qu'elles font, ect. Mais parle-moi de culotte menstruelle, ne me parle pas du président", a-t-elle déclaré sans détour. Surpris par sa réaction, Cyril Hanouna a répondu à sa chroniqueuse en affirmant que les influenceuses avaient le droit d'avoir un avis "comme tout le monde". L'animateur emblématique a été rejoint par Gilles Verdez, qui n'a pas caché son indignation face aux propos de l'ancienne candidate de la Star Academy : "Quelle honte Francesca Antoniotti (...) Franchement c'est du mépris de classe. Au nom de quoi vous dites ça ?", a-t-il interrogé son interlocutrice. Francesca Antoniotti : "Je n'attends pas ça de mes influenceuses, je regarde pour kiffer" Gilles Verdez a ensuite tenu à manifester sa grande estime pour Nabilla Benattia : "Franchement, Nabilla a une vraie vision de la société française, elle réfléchit à tout , elle est impliquée, elle a des actions citoyennes", a-t-il avancé devant les téléspectateurs de C8. Cette tirade élogieuse a semblé amuser Benjamin Castaldi, qui n'a pas hésité à le faire savoir : "Je comprends que tu la défendes mais n'exagères pas non plus", s'est moqué l'ancien présentateur de Secret Story, devant un Gilles Verdez agacé. Delphine Wespiser, qui a manifesté son soutien à Marine Le Pen, a pris la défense des influenceuses en déclarant qu'elles aussi étaient capables d'avoir des opinions politiques. Si Francesca a semblé comprendre ce point, elle n'apprécie pas que les sujets politiques soient abordés par des influenceurs sur leurs réseaux sociaux : "Je n'attends pas ça de mes influenceuses, je regarde pour kiffer, je n'ai pas envie qu'elles me parlent de politique. On parle de politique tout le temps", s'est indignée la chroniqueuse, qui a récemment confié avoir vécu un calvaire en raison de son poids. Loading widget Inscrivez-vous à la Newsletter de Closermag.fr pour recevoir gratuitement les dernières actualités

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