Nordahl Lelandais : cette agression qu'il aurait commise sur sa cousine de 14 ans en plein enterrement
Le 31 janvier prochain, Nordahl Lelandais comparaîtra devant la Cour d'Assises de l'Isère pour enlèvement, séquestration et meurtre sur Maëlys, ainsi que pour les agressions de ses cousines. L'une d'elles, aurait subi des attouchements après l'enterrement de son père.
Une personnalité "clivée, de type pervers", "incapable d'éprouver de la honte ou de la culpabilité"... Alors que Nordahl Lelandais comparaîtra le 31 janvier prochain devant la Cour d'Assises de l'Isère, les experts sont unanimes vis-à-vis du portrait de l'ancien maître chien, qui encourt la réclusion à perpétuité pour l'enlèvement, la séquestration et le meurtre en 2017 de Maëlys de Araujo, alors âgée de huit ans. Toutefois, déjà incarcéré pour le meurtre du caporal Arthur Noyer, ce n'est pas la seule affaire pour laquelle il devra répondre de ses actes. Car avant de s'en prendre à la petite fille lors d'un mariage, il aurait également agressé sexuellement ses cousines.
En mars 2017, alors âgée de 14 ans, Charlotte est victime d'une agression lors de l'enterrement de son père. "Mon cousin a voulu m'accompagner pour aller fumer, donc on s'est éloigné sur le côté de la maison. Je pleurais, forcément (...). Il me prend dans ses bras, je sens ses mains descendre dans mon dos. Ses mains se mettent sur mes fesses avec insistance", raconte-t-elle à BFMTV. Son cousin n'est autre que Nordahl Lelandais, qui selon les enquêteurs aurait "des tendances pédophiles". La jeune femme poursuit en expliquant qu'elle tente alors de repousser celui-ci, mais qu'il lui touche également la poitrine. Finalement, il menace de la tuer si elle se confie à sa famille sur ce qu'il vient de se passer.
La cousine de Nordahl Lelandais est "rongée par la culpabilité"
Avant le mariage où il a enlevé la petite Maëlys, Nordahl Lelandais aurait agressé sexuellement deux de ses petites cousines tout en filmant les attouchements, rapportent nos confrères de BFMTV. Rongée par les remords, Charlotte a notamment confié à sa mère que si elle avait parlé plus tôt, la petite fille de huit ans serait encore en vie. "Elle a été rongée par la culpabilité, parce qu'elle se dit que si elle en avait parlé plus tôt, peut-être que la petite Maëlys serait encore en vie", précise sa mère, face caméra. Prochainement jugé pour le meurtre de Maëlys, l'ancien maître chien qui a élaboré un plan d'évasion de la prison où il se trouve, comparaîtra également pour les agressions de ses cousines ainsi que pour la détention d'images pédopornographiques.
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