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Arts et People

Nikos opéré bébé : les règles imposées par sa mère

Ce mercredi 9 février, Nikos Aliagas se livrait comme rarement auparavant au cours d'un documentaire diffusé sur TMC. Né avec une malformation, il révèle les règles imposées par sa mère qu'il ne respectait pas toujours. C'est une nouvelle facette de Nikos Aliagas que les téléspectateurs ont pu découvrir ce mercredi 9 février. TMC diffusait alors un documentaire qui lui est consacré, Nikos en vrai, à l'ombre des lumières. De son parcours professionnel à des aspects beaucoup plus privés de sa vie, l'animateur deThe Voice s'y livre comme rarement auparavant. Les téléspectateurs ont ainsi pu découvrir de rares images familiales, que ce soit avec ses parents et sa sœur mais aussi, en vacances en Grèce, avec ses enfants et sa compagne Tina Grigoriou. Dès le début du film, Nikos est revenu sur un moment crucial de sa vie : la malformation dont il était atteint à la naissance, et qui aurait pu lui coûter la vie. C'est à Paris, le 13 mai 1969 que le jeune Nikolaos - de son vrai prénom - Aliagas a vu le jour. Il s'agissait alors du premier enfant du couple Aliagas. Alors, forcément, leur bonheur était de mise. Sauf qu'une nouvelle a assombri cette immense joie : le nouveau-né a une malformation de duodénum. Il n'y a pas d'autre choix que de l'opérer. Un moment douloureux, comme en témoigne sa mère Haroula Aliagas. "Quand j'ai vu mon enfant après l'opération, c'était très dur", se remémore-t-elle. Néanmoins, elle n'a jamais perdu espoir, sachant que son petit bonhomme surmonterait haut la main cette première épreuve. Nikos a trois mois lorsque ses parents le prennent enfin dans leurs bras pour la première fois, et le ramènent à la maison. Mais cette opération a laissé des séquelles dans l'esprit de sa maman. "J'ai été surprotégé" "J'ai été sur-couvé, surprotégé. 'Faites attention à lui, il est opéré', tu ne passes pas inaperçu avec ma mère", s'amuse-t-il avec le recul. Des propos confirmés par la principale intéressée. Haroula Aliagas révèle même qu'elle avait imposé à son bambin "des règles à suivre". "Souvent, il était exempté de certains sports. Il ne pouvait pas courir comme les autres enfants", estime-t-elle. Il faut dire qu'une cicatrice barre le ventre du petit garçon. Malgré les recommandations de sa mère, l'homme désormais âgé de 52 ans n'a pas totalement abandonné le sport. Au contraire, pour faire plaisir à son père, il s'est mis au judo. "Mon père disait : 'Mon fils, il n'a rien, il est champion de judo'. Il était à la fois dans une acceptation de ma réalité et en même temps dans le déni", se souvient avec tendresse ce père de deux enfants, Agathe et Andreas, respectivement âgés de neuf et cinq ans. Loading widget Inscrivez-vous à la Newsletter de Closermag.fr pour recevoir gratuitement les dernières actualités

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