Meghan Markle est plus déterminée que jamais dans sa guerre contre son pire ennemi, Piers Morgan
Tandis que Piers Morgan ne sera pas poursuivi pour ses propos sur Meghan Markle, cette dernière est plus déterminée que jamais à avoir le dernier mot sur son ennemi.
La bataille n'est pas terminée pour Meghan Markle. En mars dernier, au lendemain de son interview avec Oprah Winfrey, la duchesse de Sussex avait essuyé de virulentes critiques de la part de Piers Morgan, dont elle est la bête noire depuis son mariage avec le prince Harry. Dans son émission Good Morning Britain, le journaliste avait remis en cause les allégations de Meghan Markle, l'accusant de mentir, notamment à propos du racisme dont elle a été victime au sein de la famille royale. Des propos qui lui avaient valu plus de 58.000 signalements auprès de l'Ofcom, l'équivalent britannique du CSA, ainsi qu'une plainte déposée par la duchesse elle-même.
Toutefois après étude, celle-ci a finalement été rejetée par l'organisation, assurant une petite victoire à Piers Morgan. "En accord avec la liberté d'expression, Mr Morgan avait le droit d'affirmer qu'il ne croyait pas aux allégations du duc et de la duchesse de Sussex, d'avoir et d'exprimer un point de vue qui remet en question leur avis", a ainsi déclaré l'Ofcom, dont le code "autorise à la fois les individus à exprimer leurs positions, vivement et de manière argumentée, y compris celles qui peuvent être dangereuses ou hautement offensantes". Mais malgré cela, Meghan Markle ne compte pas en rester là.
Nouvelle querelle en vue avec les Windsor ?
Comme le rapporte The Sun, l'épouse du prince Harry est en effet "plus déterminée que jamais" à avoir le dernier mot sur Piers Morgan qui la persécute depuis son entrée dans la famille royale. "Elle convaincra tous ses partisans que c'est ainsi que fonctionne la Grande-Bretagne. Je pense qu'elle le verra comme une autre méthode de protection de la famille royale", a ainsi confié Adam Helliker au Sun, qui a précisé qu'une nouvelle manœuvre de la part de la duchesse pourrait "creuser" encore plus un fossé entre elle et la famille royale. Une nouvelle offensive qui menace donc le journaliste, qui de son côté s'est délecté de cette décision de l'Ofcom.
"Je suis ravi que l'Ofcom ait approuvé mon droit de ne pas croire les allégations incendiaires du duc et de la duchesse de Sussex à Oprah Winfrey, dont beaucoup se sont avérées fausses", a-t-il ainsi commenté sur Twitter, scandant "une victoire retentissante pour la liberté d'expression et une défaite retentissante pour la princesse Pinocchio". En fin de message, le journaliste a osé demandé s'il allait récupérer son emploi, lui qui avait pris la décision de démissionner après avoir quitté le plateau en plein direct de Good Morning Britain.
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