Leonor d'Espagne splendide : découvrez le petit prix de sa toute première robe de soirée
La princesse Leonor d'Espagne a porté sa toute première robe de soirée lors d'une remise de prix, le lundi 4 juillet dernier. Elle était splendide dans sa robe bleu pastel.
La princesse Leonor, 16 ans, a été particulièrement occupée pendant ces dernières 48 heures. En effet, la princesse des Asturies a enchaîné les engagements officiels. D'ailleurs, elle a montré un engagement sans faille envers la Fondation Princesse de Gérone. Le lundi 4 juillet au soir, la cérémonie de remise des prix de la Fondation avait eu lieu. Pour cette occasion, la fille aînée du roi Felipe et de la reine Letizia d'Espagne a porté une robe de soirée pour la première fois. Il s'agit d'une robe de princesse bleu pastel.
Porter une robe de soirée pour la première fois est une nouvelle étape pour l'héritière du trône de 16 ans. Autant le dire, cette allure de cendrillon moderne a fait sensation. Surtout que la princesse n'avait jamais porté ce type de robe auparavant. Sublime, cette robe est pourtant bien accessible. En effet, il s'agit du modèle Musca signé Miphai. Une pièce qui est vendue à 169 euros sur le site officiel de la marque. Chose que l'on comprend quand on sait que le règne du roi Felipe est sous le signe de l'austérité.
La princesse Leonor s'essaie à la marque de sa mère
Pour compléter son look de cendrillon moderne, la princesse Leonor a choisi une paire d'escarpins. Il s'agit d'une paire en daim nude de la marque préférée de la reine Letizia, Carolina Herrera. Pour un look parfait à la "Cendrillon", comme le qualifie la presse espagnole, la royale avait tiré ses cheveux en chignon, façon ballerine. En guise d'accessoires, la princesse a opté pour des boucles d'oreilles en diamant et aigue-marine assez simples.
Pour cette remise de prix de sa fondation, la princesse Leonor a été entourée par toute sa famille. "La princesse Leonor brille à Barcelone comme une Cendrillon moderne dans une robe bleue qui pourrait être portée sur un tapis rouge", peut-on lire dans le journal La Razón.