"Je suis désolé de ma brutalité": Ali Baddou recadre sèchement une invitée en plein direct
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Ingrid Kragl, directrice de l'information de Foodwatch Alors que les Français sont invités à se rendre aux urnes pour le premier tour de l'élection présidentielle, le Code électoral prévoit un arrêt de la campagne présidentielle 48 heures avant le scrutin. Ainsi, durant cette période, les candidats ne peuvent faire aucune déclaration, ne distribuer aucun tract et la publication de sondage est interdite.
Ali Baddou a haussé le ton ce samedi 9 avril, sur le plateau de C l'Hebdo. En effet, le journaliste a été obligé de faire taire une de ses invités, pour faire respecter une règle très stricte.
Alors que les Français sont invités à se rendre aux urnes pour le premier tour de l'élection présidentielle, le Code électoral prévoit un arrêt de la campagne présidentielle 48 heures avant le scrutin. Ainsi, durant cette période, les candidats ne peuvent faire aucune déclaration, ne distribuer aucun tract et la publication de sondage est interdite. De plus, sur les plateaux de télévision, les sujets qui peuvent toucher de près ou de loin à la campagne électorale doivent être prohibés. Une règle qui peut être difficile à impliquer, comme a pu le constaterAli Baddou dans son émission C l'Hebdo, présentée ce samedi 9 avril sur France 5.
En effet, Ingrid Kragl, directrice de l'information de Foodwatch était présente sur le plateau. Cette dernière est ainsi revenue sur les différents scandales sanitaires qui se sont produits dernièrement. "Le gouvernement a promis qu'ils allaient trouver des solutions Lactalis...", commence-t-elle par déclarer, avant d'être coupé très rapidement par Ali Baddou : "Nous ne pouvons pas parler du gouvernement, c'est le silence électoral qui s'impose... On va devoir s'arrêter là. Lundi on pourra en parler", rappelle le journaliste.
Ali Baddou : "C'est absolument interdit mais j'applique la loi"
Mais son invitée insiste : "Ils ont créé ce que l'on appelle 'rappel conso'. Là je suis désolée, je dis quand même que c'est une solution des pouvoirs publics qui est bien mais malheureusement, ça arrive toujours trop tard". S'en est trop pour Ali Baddouqui souhaite clore le débat : "On va s'arrêter là justement sur la question, je suis vraiment désolé mais c'est les règles et nous respectons ces règles. Vous avez écrit un livre sur les faux aliments et c'est quelque chose d'autre qui est assez fascinant parce que l'on se demande ce qu'il y a dans nos assiettes. Mais désolé de ma brutalité, mais en l'occurrence c'est absolument interdit mais j'applique la loi". En période électorale, les règles sont strictes.
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