Il perd deux doigts au travail, son patron les jette à la poubelle
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Il perd deux doigts au travail En Angleterre, à cause d'un grave accident du travail, un ouvrier d'une usine de sushis a perdu deux de ses doigts. Problème : au lieu de les garder dans un seau de glace, ses patrons les ont jetés à la poubelle.
En Angleterre, à cause d'un grave accident du travail, un ouvrier d'une usine de sushis a perdu deux de ses doigts. Problème : au lieu de les garder dans un seau de glace, ses patrons les ont jetés à la poubelle.
"J'ai perdu une partie de mes doigts dans un accident d'usine et mes patrons les ont jetés".L'histoire de Viraj Kakaida, un ouvrier d'une usine de sushis située à Londres est complètement folle. Cet Anglais qui travaille pour l'entreprise Taiko Foods, qui fournit des sushis à de grands supermarchés au Royaume-Uni, est dans une situation on ne peut plus embarrassante. Alors qu'il tranchait des poivrons à l'aide d'une machine, son gant de protection est resté coincé à l'intérieur.
Ce qui a bloqué son outil de coupe. Au moment de redémarrer la machine, ses doigts sont restés coincés à l'intérieur, ce qui a entraîné le sectionnement de deux d'entre eux. Devant ce drame, ses patrons lui ont directement suggéré d'appeler un taxi pour qu'il se rende le plus vite possible à l'hôpital.Problème : l'équipe médicale lui a demandé où étaient ses doigts. Mais selon le syndicat qui s'occupe du dossier, ces derniers les auraient jetés à la poubelle.
L'ouvrier demande plus de 20.000 euros de dommages et intérêts
Alors que les membres de cet ouvrier auraient dû directement être placés dans des poches de glace, ce dernier est désormais privé de deux de ses doigts de manière permanente. L'entreprise n'a pas nié avoir jeté les doigts et une source proche de l'entreprise a confirmé que c'était le cas. Les avocats demandent maintenant une indemnisation pour "négligence", qui pourrait s'élever à plus de 20 000 livres en cas de succès."C'est la responsabilité de l'employeur, et cela a été totalement inacceptable", a déclaré Viraj, âgé de 27 ans et originaire d'Inde. Ce dernier parle peu l'anglais et travaille six jours par semaine à l'usine. Son procès risque de durer de longues semaines.
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