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Arts et People

Eric Zemmour agressé en plein meeting : 9 jours d'ITT pour le candidat blessé

Ce premier meeting politique à Villepinte restera gravé dans la tête d'Eric Zemmour. En effet, le candidat à la présidentielle de 2022 a été agressé alors qu'il traversait la foule. Résultats : un poignet foulé et 9 jours d'Incapacité  temporaire de travail. C'était son premier meeting après l'officialisation de sa candidature à la présidentielle de 2022. Eric Zemmour était à Villepinte, ce dimanche 5 décembre. Une réunion politique qui s'est bien mal déroulée pour l'ancien éditorialiste qui aurait été blessé au poignet selon les informations de BFMTV. En effet, avant de monter sur scène, un homme aurait empoignéle candidat avant de lui sauter dessus, alors qu'il traversait la foule.Résultats : un poignet foulé et 9 jours d'ITT (Incapacité temporaire de travail). Quant à l'homme qui l'a agressé : il a été stoppé par la sécurité d'Eric Zemmour et placé en garde à vue par les forces de l'ordre. Le candidat souhaiterait porter plainte pour cette agression. Lors de ce meeting, de nombreuses échauffourées ont eu lieu. Bien avant de démarrer sa réunion publique, Eric Zemmour a vu débarquer des milliers de manifestants pour dénoncer sa candidature. Une équipe de journalistes de l'émission Quotidien a été sortie de la salle de façon assez virulente : "Le personnel s'occupant de la sécurité a donc décidé d'exfiltrer l'équipe de tournage, pour assurer leur sécurité et éviter toute violence. Ces journalistes ont ensuite pu revenir dans la salle". Durant son discours, des militants anti-racistes auraient également été agressés par des soutiens d'Eric Zemmour. hugues Renson : Eric Zemmour "sème le chaos" Dans la classe politique, les différents partis ont dénoncé les violences lors de ce meeting : "Il prétend rétablir l'ordre, il sème le chaos. Des gens se battent. Des journalistes sont menacés. Des insultes sont proférées. Il disloque l'unité nationale. Il aimerait représenter la France : il la menace", a écrit sur Twitter le vice-président de l'Assemblée nationale Hugues Renson. "Pour Éric Zemmour, la liberté d'expression ne doit être que la sienne. Pour lui c'est : Non à la la presse si elle n'est pas en soutien. Oui au racisme et à l'incitation à la haine. La France, c'est tout l'inverse", a écrit Christophe Castaner. Pour Anne Hidalgo : "La France, ce n'est pas le racisme. Militants pacifistes roués de coups, insultes envers les médias: je condamne avec la plus grande fermeté ces violences insupportables qui n'ont pas leur place dans notre République". Loading widget Inscrivez-vous à la Newsletter de Closermag.fr pour recevoir gratuitement les dernières actualités

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