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Arts et People

"Elles s’en prennent plein la gueule" : le coup de gueule de Clémentine Célarié évoquant ses enfants

C'est l'un des grands changements de la prochaine saison du Remplaçant. Dès le 27 mai 2024, TF1 diffusera les nouveaux épisodes de la série dans laquelle on retrouvera JoeyStarr dans le rôle d'un prof de français. Cette saison, il donnera la réplique à Clémentine Célarié, principale revêche de l'établissement. Un personnage "entre Jacqueline Maillan et De Funès, et Le diable s'habille en Prada pour les costumes", a ainsi expliqué la réalisatrice Stéphanie Murat dans les colonnes de Pure Médias. Très heureuse de ce nouveau projet, la comédienne âgée de 66 ans a répondu aux questions de nos confrères de Télé Magazine. Elle est revenue sur son meilleur moment de tournage. Clémentine Célarié est mère de trois fils "Le jour où nous sommes arrivés, c'était mon anniversaire et toute l'équipe me l'a souhaité. On a commencé par faire la fête, et on a dansé avec Didier un slow magnifique. Et puis, il a mis du son, et le son, c'est quelque chose qui nous relie !", a-t-elle ainsi raconté, très heureuse de son expérience dans la série. Les journalistes ont voulu savoir le rapport qu'elle pouvait entretenir avec l'Education nationale alors qu'elle a été parent d'élève. En effet, elle est l'heureuse maman de trois garçons : Abraham Diallo né en 1985 de son union avec le musicien guinéen Henri Diallo, et Gustave et Balthazar, respectivement nés en 1990 et 1992 de sa relation avec le réalisateur belge Christophe Reichert. Elle a assuré que ses liens avec l'Education nationale n'étaient pas très bons. Clémentine Célarié estime que les jeunes ne sont plus assez soutenus "J'ai un fils qui était scientifique et passionné, mais a été contrarié dans ses projets par un prof de fac qui refusait qu'il fasse des recherches en parallèle", a-t-elle déploré dans un premier temps. "Je suis une rigoureuse, car je pense que c'est important de guider nos enfants, mais j'ai eu parfois des problèmes avec certains de leurs enseignants que ne trouvais pas assez impliqués, alors que j'en ai eu des extraordinaires dans ma scolarité à moi." "Je pense qu'il faut encourager les passions des jeunes, plutôt que les castrer. Or, je trouve qu'aujourd'hui, elles s'en prennent plein la gueule !", a encore lâché, sans mâcher ses mots, celle qui a été victime d'attouchement dans sa jeunesse.

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