Elle a des problèmes avec ses voisins, ils se vengent d'une horrible façon

1/6 - Querelle de voisinage Après avoir subi de nombreux problèmes de voisinage et des menaces sur les réseaux sociaux, une habitante d'un petit village de l'Oise a retrouvé son chien pendu à une poutre en rentrant du travail ce samedi 25 juin. Après avoir subi de nombreux problèmes de voisinage et des menaces sur les réseaux sociaux, une habitante d'un petit village de l'Oise a retrouvé son chien pendu à une poutre en rentrant du travail ce samedi 25 juin.  Le drame a été évité de justesse. Selon une information du média local Midi Libre, une habitante du petit village de Lihus, situé dans l'Oise, a retrouvé l'un de ses chiens pendu à une poutre au moment de rentrer du travail ce samedi 25 juin. Alors qu'elle passait en revue ses animaux dans son chenil, cette dernière s'est rapidement rendu compte que l'un d'eux manquait à l'appel : un malinois de trois ans. Remarquant des bruits étranges, elle a réussi à sauver son jeune chien du nom d'Orus en le décrochant juste au moment qu'il ne meurt étouffé. Sur son compte Facebook, la jeune femme a précisé que depuis son emménagement dans le village il y a quatre ans, elle subit quasi quotidiennement les plaintes de ses voisins, qui n'en peuvent plus des aboiements de ses chiens. Mais cette dernière a décidé de prendre les choses en main : après plusieurs plaintes auprès de la mairie, il a été décidé de les munir de colliers anti-aboiements et de les placer dans des chenils construits exprès lorsque le couple s'absente du domicile. Une enquête pour cruauté envers un animal a été ouverte Pourtant, ses voisins ont décidé de ne pas en rester là. Avant de découvrir l'un de ses chiens pendus, la propriétaire a déclaré avoir retrouvé plusieurs boulettes de viande pleine de clous pour blesser ses chiens, en plus d'avoir eu la vitre arrière de sa voiture cassée en guise d'intimidation. Logiquement, la jeune femme a porté plainte ce lundi 27 juin pour acte de cruauté envers un animal. Le parquet de Beauvais a ouvert une enquête. De son côté, la publication Facebook expliquant la violence des faits a récolté près de 10.000 partages.