Chiara Mastroianni : comment elle a découvert que sa mère, Catherine Deneuve, était une star
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Chiara Mastroianni et Catherine Deneuve Chiara Mastroianni est de retour sur le devant de la scène, mais au théâtre cette fois dans la pièce Le Ciel de Nantes.
Chiara Mastroianni est la fille de deux monstres sacrés du cinéma. Mais pendant longtemps, elle a ignoré que ses parents, et notamment, sa mère, Catherine Deneuve, était une star du cinéma.
Chiara Mastroianni est de retour sur le devant de la scène, mais au théâtre cette fois dans la pièce Le Ciel de Nantes. En pleine promotion, la comédienne a accordé une interview à Madame Figaro, ce jeudi 17 février. Elle y a évoqué sa carrière, mais aussi sa famille et notamment ses parents. La fille de Catherine Deneuve et de Marcello Mastroianni y explique que pendant longtemps elle a ignoré que ses parents étaient célèbres. "Jusqu'à l'âge de 12 ans, j'étais scolarisée dans un institut Montessori, à Paris, où personne n'en avait rien à faire de savoir qui était qui...", indique-t-elle.
"J'avais vu ma mère dans Peau d'Âne, mais je trouvais normal qu'elle fasse des films ou la couverture des magazines puisque je ne connaissais que cet univers", poursuit Chiara Mastroianni. Et d'ajouter : "Idem avec mon père, que j'accompagnais en vacances sur ses plateaux de tournage." Elle a ensuite révélé à quelle occasion, elle s'est rendue compte de la notoriété de sa mère : "Et puis, un jour, ma mère est revenue d'Amérique avec une photo d'elle en compagnie de Miss Piggy du Muppet Show, dont j'étais super fan. Ce jour-là, j'en ai déduit qu'elle devait être quelqu'un de très important", plaisante-t-elle aujourd'hui.
Le cinéma, une passion commune pour la famille
Sa passion pour le cinéma, Catherine Deneuve l'a transmise à sa fille. En août 2020, l'ex de Benjamin Biolayavait des confidences sur des souvenirs marquants de son enfance dans un entretien à Elle. Chiara Mastroianni avait alors évoqué "une boîte aux trésors extraordinaire un petit cahier, hyper bien fait, très ludique, avec des centaines de titres répertoriés, classés par numéro". Et d'expliquer : "Cela correspondait aux centaines de cassettes VHS qu'elle avait enregistrées elle-même : des films qui passaient au "Ciné-Club", au "Cinéma de minuit" sur les chaînes publiques, qui en diffusaient alors beaucoup plus. Une vraie cinémathèque privée, avec des pépites, c'était très formateur."
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