Aîné, cadet ou benjamin… Voici celui qui est le plus drôle dans une fratrie

Dans une fratrie, chacun a sa propre personnalité. La place que l’on occupe dans la famille forgerait notre personnalité. Selon une étude de la firme britannique YouGov, l’ainé serait le plus responsable, celui du milieu le plus ambitieux. Quant au petit dernier, la créativité ferait partie de sa personnalité. Aîné, cadet, benjamin : quel enfant est le plus drôle ? Le benjamin (soit le dernier enfant d’une fratrie) est insouciant et souvent au cœur de l’attention. En effet, l’enfant né en dernier aurait pris l’habitude qu’on fasse les choses à sa place et fuirait les responsabilités. Le benjamin est connu pour amuser la galerie dans une famille. Selon une étude de YouGov, le petit dernier serait aussi le plus drôle des frères et sœurs. C’est d’ailleurs grâce à l’humour et la plaisanterie qu’il gère son stress et parait plus détendu que ses aînés. Souvent, les parents sont plus indulgents avec leur dernier enfant. Contrairement à ses frères et sœurs plus âgés, le benjamin a généralement eu plus de liberté. D'après le psychologue et auteur américain Frank Sulloway, cette habitude de faire ce qu’il veut accentuerait son goût du risque. Selon l’enquête de Career Builder de 2011, le benjamin est fréquemment doté d’une ouverture d’esprit, qui l'oriente vers une carrière créative (architecture, écriture, arts plastiques). Le dernier enfant d’une fratrie peut avoir une tendance à la manipulation et n’aime pas qu’on lui dise non. Le "chouchou" des parents use de ses charmes pour arriver à ses fins ! Mais il n’est pour autant pas quelqu’un de méchant. Les caractéristiques de l’aîné et du cadet Dans une étude publiée dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences of the United States of America (PNAS), les chercheurs de l’université de Leibzig ont démontré que l’aîné aurait le QI le plus élevé dans une fratrie. Selon les experts, cette caractéristique peut s’expliquer par l’éducation. Les aînés ont profité de l'attention de leurs parents, avant l’arrivée de leurs frères et sœurs, ce qui a influé sur leur intelligence. L’enfant du milieu aurait lui tendance à se sentir délaissé par ses parents. D’après l’article de Rachel Hosie, journaliste à The Independant, le cadet a tendance à vouloir se faire remarquer. Alors, soit il traduira cela par des bêtises, soit par une grande ambition. L’enfant du milieu redouble souvent d’efforts pour qu’on l’admire. Le cadet d’une fratrie n’est pour autant pas une personne timide, mais est au contraire souvent sociable. L’enfant du milieu sait aussi s’adapter facilement.